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HISTOIRE - HISTOIRES
Autres documents sur Holzminden

Après l'intérieur de la baraque des hommes, voici celui de la baraque 20, où logeaient les femmes. Une mention au verso, de la main d'Aimée Brasseur, nous précise le nom des personnes présentes sur la photo, et ainsi rédigée :«Notre chambre baraque 20. Mme Dassonville, Mme Delmotte, Moi, Mme Lallemand, Marguerite, Ketty Obez.»
Nouvelle production de l'inépuisable «violon» : il s'agit cette fois de l'intérieur de la baraque 20.
Ci-dessous d'autres documents, avec d'abord le matériel de correspondance utilisé à cette époque ; puis le texte d'une chanson qui semble utiliser les patronymes des prisonniers pour amuser le groupe et soutenir le moral. Et enfin, un article très intéressant de «La voix du Nord» (datant de 1964), qui montre que cette tragédie est restée très longtemps dans les esprits de la population. En la circonstance, il met à l'honneur Nelly Brasseur, soeur de la cousine Marguerite figurant ci-dessus... Enfin, tout en bas, deux nouvelles fantaisies du «Violon».
Enveloppe d'une correspondance reçue par Aimée Brasseur à HolzmindenCarte envoyée par un prêtre belge prisonnier à Holzminden
correspondances envoyées par Pierre Brasseur à sa nièce ou à son père
Tout était bon pour tromper l'ennui et soutenir le moral...
En 1964, on parle encore de Holzminden dans «La voix du Nord»...