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LIEUX BRASSEUR DE JADIS, Pentecôte 2007, suite.
EN PASSANT PAR LA CARLOTTE
Quelques centaines de mètres plus loin, toujours sur la chaussée Brunehaut, se trouve la Carlotte : cette belle maison sur une hauteur a été construite par «Papa Nicolas» Brasseur pour ses vieux jours. C'est l'endroit idéal pour relire la partie du texte de Bernard se rapportant à toutes les girouettes familiales que notre ancêtre pouvait contempler de son balcon par beau temps. On finit à peine que surgit l'actuel propriétaire, Monsieur Louis, lui aussi bien connu de notre cousine Régine. Il regarde avec grand intérêt une photo ancienne du lieu (qui n'a pourtant pas beaucoup changé) et nous interroge sur la date de construction de la maison. En faisant quelques recoupements, on propose la fourchette 1873-1875. On note ses coordonnées pour lui envoyer copie de la photo, puis on prend congé, car il est midi passé. Etienne nous a reservé une table dans un snack de Bavay, où il doit d'ailleurs nous retrouver. Nous filons donc vers «La Grignotte» où nous sommes heureux de nous attabler, et la table a grandi depuis la veille au soir, car les convives sont plus nombreux. Mais là encore, on ne s'attarde pas car rendez-vous a été pris à quatorze heures à la ferme du Gard, où Jérôme Brasseur (frère de Nicolas) doit également nous rejoindre. |
 
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PHOTO DE FAMILLE A LA FERME DU GARD
De fait, à peine sommes-nous arrivés aux abords de la ferme que nous tombons sur Jérôme et toute sa petite famille et, surprise, Marie-Thérèse (sa maman) est là aussi, de même que sa soeur Sophie qui elle aussi est venue avec les siens, si bien que lorsque nous entrons dans la cour de la ferme, nous sommes une petite troupe d'environ trente personnes en comptant les enfants ! Mais cela ne désarçonne pas nos hôtes : la famille Fruit est là au grand complet pour nous accueillir, prévenue par Jérôme : même la vieille madame Fruit, toujours bon pied bon oeil à 86 ans, est venue nous saluer... Il faut dire que nous sommes un certain nombre à les connaître ne serait-ce qu'un peu, puisque leur famille a succédé au dernier Brasseur fermier dans les lieux, à savoir Aimé, le père de notre cousine Régine. Jean-Marie et Elisabeth Fruit ont bien fait les choses et, avec l'aide de leurs deux enfants, nous servent du gàteau marbré accompagné au choix de bière de Bavay ou de jus de fruits. Ils acceptent en outre de prendre en photo tout le groupe avec nos appareils, nous permettant ainsi de faire sur ces lieux chargés d'histoire familiale une belle photo de famille... |
   
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LA MAISON DES TANTES, ET LE LOUVION
Au moment de quitter le Gard, Jérôme nous prévient que les plus petits enfants ont un biberon à prendre et que les deux familles nous rejoindrons au Louvion. Nous quittons la famille Fruit en les remerciant de leur accueil si chaleureux et reprenons la route, nous arrêtant très peu de temps après, à la maison qui fut celle de Jeanne et Nelly Brasseur. C'est un moment d'émotion pour leurs neveux Paul et Louise, qui enfants venaient là passer des vacances ! Paul nous raconte ce qu'était ce moment du crépuscule où la lumière baissait assez pour ne plus y voir beaucoup, mais où l'on attendait la nuit noire pour allumer les lumières : c'était « le noir quart d'heure »... Un peu plus tard nous repartons vers le Louvion, où nous attend une désagréable déception : ce qui fut la ferme de « Papa Nicolas » et de « Maman Catherine » semble en bien mauvais état ! Bâtiments abimés et mal entretenus... il parait que la propriété a changé de main il y a peu : peut-être les nouveaux maîtres des lieux voudront-ils améliorer cet état de choses, c'est l'espoir que nous avons en repartant. |
  
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LA MAISON DE CLEMENCE MARCHANT-WILLIOT.
Nous reprenons la route de Taisnières-sur-Hon, car il avait été convenu dans les semaines précédentes que nous passerions chez nos cousins Guillaumin qui habitent dans ce qui fut la maison de Clémence Marchant-Williot. La famille y habite depuis de nombreuses générations et Agnès, arrière-petite-fille de Clémence, et son mari Jean-Claude, poursuivent cette tradition. Mais lorsque nous avions convenu de ce rendez-vous, personne n'aurait imaginé que nous serions si nombreux ; pourtant c'est bien huit voitures que nos cousins ont vu surgir en ce dimanche après-midi ! mais leur gentillesse n'a d'égale que leur simplicité et ils nous offrent un délicieux goùter sur leur si belle terrasse. Et le ciel qui n'a manifestement pas le coeur à nous contrarier retient les grosses gouttes qui avaient visiblement envie de tomber. Cependant, nous ne sommes pas encore au bout de notre programme, et après un moment de chaleureuse convivialité, nous partons sur les pas de Jean-Claude visiter la ferme du moulin Williot. |
 
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